Tout est question d’équilibre, comme disait Francis Cabrel dans sa chanson. Mais comment le retrouver parfois, ou tout simplement le découvrir.

Voici que cette question me taraude, alors que nous vivons la plus belle des pleines lune printanière. Celle qui nous dévoile notre face cachée, pour ne plus la laisser en arrière plan et nous éloigner de ce que nous sommes réellement.

Mais voilà les humains en général ne savent pas bien ce qui est du domaine du réel dans ce qui nous arrive au quotidien.

Combien de fois vous êtes vous fait la remarque, lorsque un type vous énervait à la caisse du supermarché, qu’il ressemblait étrangement au gars qui vous  piquait votre goûter à la récré à l’époque. Ou encore qu’un individu assis face au parc à jeux de la commune, révélait les même manières étranges et perturbantes qu’un grand oncle, pas très clair envers votre vie de jeune garçon pré-pubère.

Il est donc parfois complexe de comprendre ce que l’univers vous veut, à force de toujours vous envoyer les même images du passé. Celui qui ne cesse de revenir à la surface sans jamais vous laisser tranquille pour de bon.

Et c’est peut être par là que la notion d’équilibre devient importante, entre notre passé et le futur qui en découle. Et ce n’est finalement qu’au présent que nous pouvons en bouger les lignes. En vivant ce que notre futur tant désiré ne veut plus. Et pour cela il s’agit de remédier à nos blessures les plus profondes, mais pas en attendant sagement sur un fauteuil que quelqu’un le fasse à notre place.

C’est là qu’apparait le plus difficile: faire!

Effectivement comment se mettre en quête d’un mieux être sans partir dans des concepts bien éculés. Par exemple lorsque nous nous répétons toujours qu’il nous est impossible de devenir cette fameuse personnes dont nous rêvions tant enfant, ado et maintenant adulte. Et cela bien avant de devenir une pauvre créature qui cherche la paix au bout de n’importe quel chemin, pourvu qu’il ne soit pas celui qui nous force à travailler sur nous même.

Mais voilà travailler ne veut pas dire faire un boulot harassant à la longue, pour ne plus voir nos blessures et les oublier sous ce fameux tapis. Vous savez celui qui nous fait chuter au moindre accroc dans le quotidien. Travailler ce serait plutôt trouver un équilibre entre le réel et ses factures continuelles, et la notion de bien être au quotidien.

C’est se mettre en quête de ce fameux fil bien solide. Celui qui va nous permettre de tenir debout, sans se perdre dans les méandres de notre peur à être tiraillé de partout. Et ainsi il sera plus aisé d’entamer ce fameux travail sur soi, sans la  crainte de perdre pieds et de tomber dans le noir béant d’un précipice sans fin.

Ce désir de quiétude qui devient pour beaucoup une contrainte, à aller ainsi chercher tout, sauf sa paix avec soi-même. Mais ce chemin si difficile à emprunter n’est en rien une tare, lorsque la maison mère de votre entreprise immuable qu’est le mental veut vous empêcher d’aller de l’avant. Et cela pour que vous ne trouviez jamais un job qui vous tient à coeur, et épouse votre propre conception de l’équilibre au quotidien.

Et là en ce moment se surajoute la volonté profonde de beaucoup d’hommes. Ceux là même que nous désignons comme dirigeants de nos pays, et qui semblent pourtant nous enfoncer dans la peur même de devoir se battre pour retrouver notre équilibre.

C’est ainsi que la moindre pensée dirigé vers la recherche de notre bien être intérieur est réprimée automatiquement par la peur de perdre notre emploi. Ce job qui permettra à ces même dirigeants de vivre au crochet de notre dur labeur, pourtant destiné à notre famille et notre plein pouvoir de développement et sûrement pas au leur.

C’est peut être par là que devrait commencer la réflexion concernant notre équilibre: par la raison du mal être général actuel.

Cette raison qui ne se transforme plus en bon sens, mais en peur inavoué de devoir lâcher des deniers qui ne nous appartiennent plus, malgré la fatigue engendré par un boulot bien épuisant parfois.

Alors pourquoi ne pas commencer par parler de soi à son entourage, de son envie d’être bien sur tous les pans de notre vie, et de chasser le fameux cancrelat qui nous déchire les filaments de notre fil. Souvenez vous celui qui se doit d’être assez solide pour nous permettre de retrouver l’équilibre dans le quotidien.

Voilà donc pourquoi je parlais de funambulisme!

En effet pour ne pas sombrer dans nos sociétés actuelles, chacun pense qu’il faut obéir au bienséant du devoir d’être un citoyen modèle. Et pour cela les hommes et les femmes ont appris à ignorer leur souffrance, pour continuellement marcher auprès des dictateurs. Ceux qui nous imposent des  limites par peur de sombrer dans les profondeurs de leur noirceur, puisque  de fil cela fait longtemps qu’ils n’en ont plus à ainsi nous tirer vers le bas. Ils s'emploient à nous viser de leur flèches de mépris et de mauvaise vie, lorsque le pauvre citoyen veut juste chercher une baguette dans une zone interdite à sa vieille mais en pleine forme automobile.

Comment donc trouver cet équilibre en trainant des stigmates dignes d’un film d’Hollywood. Le fameux classique où les cowboys et les indiens deviennent des ennemis mortels, pour montrer aux pauvres gens que nous somme pour eux, qu’il est toujours nécessaire de se trouver un ennemi dont nous ignorons quasiment tout. Et cela jusqu’à sa légitimé même d’exister en tant qu’être vivant.

Cette superproduction qui fera diversion pour nous éviter de voir que le bienfondé sociétal n’est que mensonge pour nous éloigner de nous même, et ce fameux équilibre entre tout ce que nous représentons en réalité.

Car le fléau ne vient pas de celui qui fait la pluie et le beau temps depuis son trou infernal de décadent, mais de celui qui le cautionne et l’autorise ainsi à le tirer de part et d’autre de ce fil de vie de plus en plus fin.

Je pense qu’il est donc nécessaire de faire le point sur ce qui se passe actuellement dans notre si beau pays. Et cela pour comprendre que l’erreur n’est pas de penser que nous sommes pris au piège par les taxes et autres turpitudes financières, mais que nous nous laissons dévorer en investissant là où il ne faut pas. Nous préférons échanger notre vie à la bourse du plus offrant des menteurs, au lieu de payer de notre argent pour devenir honnête et droit envers nous même. Car comment qualifier la mort que nous nous infligeons, face au bon vouloir d’une nature qui pourtant nous donne tout en partage pour ne ni mourir de faim ou encore de soif.

La révolte ne viendra pas des armes chers amis, mais de la raison elle même. En effet lorsque cette dernière se sera aligné à l’amour que nous nous portons à nous même, nous ne nous laisserons plus détruire ainsi sans  rien dire par un état, qui dicterait tout pour notre soi disant bien être.

Réfléchissez au bien être et demandez vous qui a essayé de vous tuer en vous administrant de force des schémas de vie. Ceux qui en réalité ne sont que calculs méticuleux pour vous faire plier sous le poids de la contrainte d’une force, qui n’est autre que la peur elle même.

Révoltez-vous face à la peur qui vous pénètre ainsi, même si vous ne la comprenez pas, pour vous retourner vers la volonté de l’amour. Celui que vous vous portez à vous même, sans même le savoir parfois lorsque la vérité vous demande d’arrêtez de porter le fardeau de ce fameux agresseur. Celui dont nous parlions plus haut, provenant d’une enfance pourtant  belle selon vous. Mais ce petit pain volé à la récré restera pour jamais ancré dans votre vie actuelle, si vous ne relâchez pas la peur d’un jour vous retrouver nez à nez avec ce même agresseur.

Sachez le, si vous le cachez sous le tapis, il ressortira par la petite lorgnette d’un univers qui vous veut conscient de votre passé, afin d’enfin en effacer les mauvaises énergies qui construisent encore votre présent et votre futur.

La vérité, avec l’aide la pleine lune de ce printemps va maintenant passer à la vitesse supérieur. Elle va envoyer son armée destinée à ouvrir les yeux de la population en mensonge permanent, face à ce pouvoir qui veut dominer notre raison.

Mais il est trop tard pour les charlatans de la réalité tronquée, car le grand escadron de la vérité est maintenant prêt à passer à l’action pour vous aider à en voir chaque bout: du plus petit trauma d’une enfance paraissant bienveillante avec votre vie d’adulte, au plus grand des voleurs de raison d’une peur instillée de force.

Et oui lorsque la pleine lune aura atteint son apogée cette nuit, il sera fini le temps des vacances pour ceux dont la paix et restée aussi tronquée que leur vie. Celle maintenue à l’abri d’une fausse sérénité qui ne sera absolument plus d’actualité.

En effet seule la véritable paix sera acceptable, et elle passera par le regard de la vérité envers soi-même. Et surtout envers tout ce que les médias fort de leur drôle de bienveillance, ont oublié de vous raconter depuis quelques décennies à présent.

Tenez-vous bien au siège, à présent que les masques sont tombés. Il va falloir regarder bien en face les visages de la peur, car beaucoup d’entre nous n’ont encore rien vu à la puissance du soleil révélateur d’âme. En effet la paix se veut ainsi peine d’élan nouveau pour ne plus avoir à se cacher derrière le soleil elle aussi.

Et ce dernier à décidé de l’éclairer de partout. Soyez bien conscient qu’elle va vous interpeller, et surtout vous demander de ne plus vous mentir à vous même. Etant donné que c’est de cette ignorance à notre vie d’être humain, que naissent les plus belles dictatures.

A la prochaine fois, en espérant que je ne vous ai pas fait peur avec mon histoire d’équilibre, car devenir un funambule sans peur n’est pas aisé. Surtout lorsque depuis tout petit une laisse nous avait été mise par des schémas de fonctionnement, provenants d’une famille ou d’une société dite bienveillante pourtant.