Voilà une petite histoire bien sympathique entre un âne et son petit cheval de Troie. Et oui les ânes aiment beaucoup faire des farces, d’où leur ingéniosité lorsque le vilain éléphant leur marche dessus. Mais cette fois-ci la basse-cour du petit fermier qui en avait mare de se faire manipuler par son vilain âne, se mit également à participer au combat de trop pour beaucoup.
Mais qu’y a-t-il de trop lorsque la mort fini par rattraper non seulement les canetons peu aguerri aux maladies de l’année, mais également les petites filles de notre fermier?
Germain, le fermier donc, voulait absolument se mettre en quatre pour ne plus avoir à souffrir des malentendus permanent entre son âne et l’éléphant du cirque voisin.
Quelle drôle d’histoire, vous en conviendrez, mais comment ne pas se rendre utile en aidant notre pauvre fermier à sauver sa basse-cour.
Il avait eu tellement de mal à se faire entendre par son âne, pour maintenant constater qu’il n’avait rien fait de plus pour le sortir de sa misère. Il l’avait adopté pour l’aider à travailler les champs en morte saison, afin que les récoltes soient meilleures d’années en années. Mais malheureusement la récolte ne donna rien de plus qu’une nouvelle épidémie de maladies plus farfelues les unes que les autres.
Il fallait bien se rendre compte que notre fermier n’y avait vu que du feu, lorsque le sérail d’éleveurs d’ânes lui donna la main pour le remercier de son très bon achat. Il avait bonne réputation dans son pays, d’être toujours bien au fait de la meilleure des races d’âne à élever pour redonner courage et espoir à tous les fermiers du pays. Mais là notre brave Germain vit que l’âne n’était en fait qu’un de ces fameux cheval de Troie, employé pour surveiller son petit train train quotidien.
En effet la langue pendante cet animal avait toujours plus soif d’un jour à l’autre. Il ne voulait pas boire l’eau destinée aux animaux de la basse-cour, mais celle destinée au fermier. Celle issue de la petite source personnelle et pleine de vitalité qu’il entretenait depuis des années, à la suite de son père et de celui encore plus de son grand père qui lui aussi l’avait découverte à l’âge des premières installations humaines dans la région.
Mais voilà que l’âne voulait goûter à son bien le plus précieux, pour lui donner un coup de main sur la qualité de l’eau prétexta-t-il. Mais ce n’était pas cela. L’animal voulait lui rendre coup pour coup pour ne pas l’avoir reconnu comme un être de haute intelligence, et cela pris un tour de main assez complexe.
L’âne devenait acariâtre, gourmand et cela au point de ne plus laisser le fermier tranquille. Son épouse prit la peine de lui dresser une litière comme pour son couple et ses enfants. Ses filles venaient le caresser tous les jours pour assouvir son besoin de tendresse assez important, il faut le dire. Car l’âne n’aimait pas ceux de son espèce, il préférait martyriser les humains et les canards autour de lui.
Pourquoi les canards?
Bien tout simplement parce que les canards sont des êtres assez à part entière. Ils sont comme qui dirait éveillés au petit rien qui sert à les avertir du moindre danger. Et la mère canard en chef avait bien senti que cet âne n’était pas bien respectable avec son attitude de je m’en fou de tout, sauf de mon propre confort et de celui de mes amis le plus proches.
Mais quels amis? Ah oui j’avais oublié, notre âne s’était entiché d’une troupe de lutin bien peu commodes, qui cherchaient à l’aider pour éliminer tous les humains qui ne rentraient pas dans son état quelque peu dictatorial d’animal à tout faire, sauf ce qu’il devait être apte à faire.
Bon bon quelque peu complexe que ce cas là d’âne, qui ne sait plus comment avancer sans être dans la démesure.
Et cette histoire ne s’arrête pas là, car le pauvre éléphant, abattu par la bande de lutin armé à l’époque, au cirque d’à côté avait fait quelques émules. Et il faut dire que notre éléphant n’était pas vraiment mort. Toute cette histoire le rendit encore plus enragé qu’à l’époque, où il ne se doutait pas encore vraiment de l’influence des lutins sur la vie de notre drôle d’âne bien spécial et acariâtre envers les humains.
L’éléphant regardait de loin Germain et ses enfants, ainsi que son épouse, disparaitre peu à peu sous le tas de fumier familial. Ils n’avaient plus d’entrains, plus d’élan vital, juste de quoi survivre au quotidien. Alors que l’âne lui vivait dans la maison, au pieds du lit des lutins pour ne pas être mis à l’abandon lui aussi.
Par ce que dans l’historie c’est un peu les lutins qui sortaient de ce fameux cheval de Troie, qu’était notre âne.
Mais d’où venaient-ils ces lutins?
Du commandement de la troupe des individus sans âmes et surtout sans raison, pour ainsi mettre en place une armée d’âne destinée à les rendre invisible et invincibles à la longue.
Mais en échappant à la mort, l’éléphant du cirque voisin se mit à barrir pour réunir son drôle d’entourage à lui aussi.
Il faut dire qu’on trouve de tout dans un cirque, et pas seulement des clowns. Car en effet le lion féroce lui aussi voulait sortir de la cage dans laquelle on l’avait ainsi mis, sans se soucier de sa pitance et de son incroyable talent de guerrier éternel.
Ah bon, le lion! Il sort d’où celui là, sûrement pas de la savane au milieu du cirque de la folie internationale. Oh non! Il n’était pas originaire des premiers combattants pour la liberté de rugir sa faim, et son envie de ne pas être dérangé pendant la sieste. Non le lion voulait retrouver son âme de combattant en chassant l’âne, et surtout ses lutins de la ferme d’à coté. Car ce cher Germain avait toujours eu un mot doux et une friandise, lorsque le cochon de l’année venait à être dépecé pour nourrir la famille. Jamais il n’avait oublié le lion d’à côté, qui n’aimait guère que l’âne lui vole son père Noël à lui.
L’éléphant l’embaucha donc en lui confiant la sécurité du paysan, pour veiller à la bonne santé du petit humain qui venait de naître sur la litière peu confiante encore de notre fermière. Elle était terrorisée par ce que l’âne aurait fait pour récupérer ce qui revenait à son dernier né. Elle cacha son enfant quelque peu auprès des canards, qui surent comment faire pour obéir non pas au fermier, mais à leur propre raison de survie.
Les enfants c’est important, et notre éléphant le sais bien, car les siens mettent déjà une plombe pour venir au monde, alors il faut bien en prendre soin.
Mais dans son cirque manquait à l’appel le fameux maitre loyal, celui qui organisait d’une manière très ordonnée, contrairement aux apparence, sa petite flopée d’acteur du divertissement à l’humain. Il savait que pour rendre l’éléphant normal et acceptable, il devait le confronter à l’âne et pour cela une seule solution.
Le combat de coq!
Et oui lorsque le ring s’ouvre à deux animaux en recherche de paix , mais pas la même pour les deux, le coq semble toujours être plus intelligent en dominant le tas de fumier de sa petite griffe bien acérée.
Mais là le problème se compliqua, car le ring n’était plus aux normes de notre armée de lutins, qui maintenant dominaient à peu près toutes les fermes du coin. Ils voulurent remplacer le coq par une petite myrtille bien fraîche pour en nourrir les vers de terre qui se baladaient par là. Mais bon pas besoin d’être Einstein pour comprendre que notre éléphant n’avait plus besoin de fumier pour revenir à la première page du journal local. Il n’attendit pas longtemps pour écraser de sa patte, quelque peu velue, la tête de l’âne. Mais oh surprise ce n’est pas du sang qui sorti de sa boite crânienne, mais quelques milliards de puces informatisées à outrance qui se déversaient en rafale sur le sable du ring.
Le lion prit la peine d’examiner les mécaniques employées pour constater que la reine du peuple des lutins avait bien eu raison de cacher tel stratagème, pour maintenant être découverte en plein milieu de ce combat sans sens.
Tout devenait de plus en plus fou. Les fermiers ne savaient plus si leur âne était vrai ou faux, si la maladie mentale du lion tant décriée était vraie ou fausse. Mais devant l’absurde vérité du stratagème du cheval de Troie, ils constatèrent que les ânes n’étaient que robots destinés à les induire en erreur et les couper de tout leur bon sens d’être humain.
Oh là là tous les Germain du monde déprimaient face à cette étrange révélation, que notre éléphant fit naturellement en écrasant la tête de cette immonde animal prêt à tout, car inhumain.
Mais la balade de l’éléphant au milieu du jeu de quille des lutins ne s’arrêta pas là. Il prit sur son dos le petit souriceau, qui avait tout déclenché en induisant la panique chez les lutins. Il était fort notre souriceau, et surtout sans peur lorsqu’il s’agit de défier l’impossible. Il voulait même atterrit sur Mars, un bel exemple de sa folie douce. Mais surtout il voulait comprendre pourquoi personne ne savait rien sur la folie de l’âne, sans véritable tête bien faite. Et il compris assez rapidement que les animaux du cirque avaient été mis en cage pour ne surtout pas révéler la supercherie. Mais en nourrissant régulièrement le lion d’une bonne pitance, et cela en secret, notre cher Germain avait su garder la foi en la véritable force qui nous habite nous, les humains. Celle qui va maintenant empêcher les ânes de revenir à la charge, car la supercherie va très probablement être révélée d’un jour à l’autre, et avec force et vigueur, et surtout à la lumière de tous les habitants de notre beau pays ici présent.
Je ne parle pas spécialement du pays de l’âne et de l’éléphant, mais de tous ces pays qui vont comprendre que le cheval de Troie ne fut pas une légende à l’eau de rose, mais bien une réalité, car les ânes étaient envoyés partout pour faire le jeu de ces fameux lutins.
Mais ces lutins où sont ils maintenant?
Bien entrain de chercher leur reine qui disparu aussitôt que l’âne le plus sot fut mis en route, il y a quelques années. Du coup les lutins se retrouvèrent seuls, pour chercher l’appui chez ce fameux prince, fils de la reine, qui n’est autre qu’un âne lui même. Un vrai cette fois-ci, sans mécanisme remplaçant un cerveau déjà bien atteint par la peur de n’être rien au départ de sa mère.
Mais voilà il va connaître la fin en même temps que son peuple de lutins, car l’éléphant a asséché la source malfaisante pour mettre en évidence la belle et pure eau du ruisseau qu’entretenait notre cher Germain.
Voilà chers amis, tout cela pour vous dire que la vérité ne vient jamais de l’âne mécanisé à outrance aux âneries de son chef sans grâce, mais qu’elle viendra toujours de l’éléphant qui survécu à sa propre mort en ne rechignant pas à la tâche. Et sachez qu’il n’était pas évident de convaincre un lion de père en fils pour enfin déterrer la hache de guerre, qui était bien évidemment entretenue par tous ces fameux lutins sans sens.
Alors ne soyons pas dupes, l’éléphant n’est pas source de miracle, ni le lion d’ailleurs. Mais le souriceau nous a permis, malgré sa grand folie créatrice, de nous rendre compte que les miracles ne sont pas la panacée d’un cercle d’élite le décidant ainsi. Mais ils sont preuves que les choses peuvent changer au niveau mondial, si la bonne énergie et portée au bon en droit par des âme ou des êtres de bonne conscience. Ceux qui sauront retrouver le lion, l’éléphant et la dignité du souriceau qu’ils étaient en se mettant à reconstruire, eux aussi, par la simple mise en accusation de ceux qui leur coupèrent la bonne source d’alimentation quotidienne.
Voilà donc comment s’achève notre histoire pour aujourd’hui, car le fameux serpent débarque dans la misère des lutins, et ce n’est pas pour les rendre plus aimable à notre regard. Oh que non, son venin est entrain de se déverser pour les rendre de plus en plus visible du moindre fermier. Celui qui n’aurait pas encore compris que son âne était le fameux ennemi, qui le rendait de plus en plus malade de jour en jour.
Le légendaire venin de vérité, qui permettra à tout un chacun de se faire une idée de ce que le monde devrait ou ne devrait pas être.
Bonne année du serpent de bois, car celui là ne sera ni mensonge et ni introspection pour tout un chacun. Il va ouvrir les yeux de l’humanité à ce qu’elle redoutait tant: la véritable paix, lorsque la vérité nous oblige à la prendre en compte pour ne plus renier ce qui fait de nous des êtres humains.
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